vendredi 3 août 2012
a vendre : primer bonbon paul & joe
rholala, regardez moi cette morte de faim qui a une nouvelle lubie : les converse.
pour acheter des converse, faut des pépettes, et pour avoir des pépettes, faut se débarrasser des trucs encombrants (jolis mais inutiles, en gros).
c'est le cas de la base ci-dessus, foin-foin à sa sortie, sold out et toussa, jolie comme un coeur, mais dont c'est, à mes yeux, la seule qualité.
toussa pour vous dire que je l'ai mise en vente sur ebay.
elle vous attend.
dimanche 22 janvier 2012
tuer l'ennui
rhalala, ça fait 3 milliards d'années que j'ai pas écrit ici.
comme quoi c'était vraiment un caprice, ce blog. vous savez, ce principe bien connu qui consiste à vouloir fort quelque chose et à s'en détacher rapidement quand on l'a.
en fait, j'me suis rendu compte que prendre en photo du maquillage ou des soins était soporifique. si encore j'avais eu la plume aiguisée d'une tête de thon en grande forme, j'aurais continué juste pour le fun. mais non. la flemme d'écrire, et encore plus la flemme d'écrire bien.
je continue à lire certaines d'entre vous. je suis secrètement amoureuse de pshiiit et de ses doigts parfaits. je me suis flagellée bien des fois d'avoir raté tête de thon à poil, je continue à déplorer le manque de détachement et de second degré de certains blogs, et mes yeux saignent toujours devant les majuscules exclamées.
je continue à claquer mon pognon dans du maquillage, des godasses et des perfectos, à me faire les ongles comme un porc, à passer 1/4 h à me démaquiller, mais j'éprouve juste plus le besoin de le partager.
parce que m'est avis que seules les choses de qualité se partagent. et qu'à force de trop vouloir poster juste pour avoir sa cour et le privilège d'être lue, on finit par se travestir. et je trouve ça triste.
spéciale dédicace à ugliness, qui ose pointer du doigt ce que j'ai toujours eu envie de faire. la fuite des cerveaux, les photos immondes étalées avec fierté, et le vide intersidéral.
portez vous bien !
comme quoi c'était vraiment un caprice, ce blog. vous savez, ce principe bien connu qui consiste à vouloir fort quelque chose et à s'en détacher rapidement quand on l'a.
en fait, j'me suis rendu compte que prendre en photo du maquillage ou des soins était soporifique. si encore j'avais eu la plume aiguisée d'une tête de thon en grande forme, j'aurais continué juste pour le fun. mais non. la flemme d'écrire, et encore plus la flemme d'écrire bien.
je continue à lire certaines d'entre vous. je suis secrètement amoureuse de pshiiit et de ses doigts parfaits. je me suis flagellée bien des fois d'avoir raté tête de thon à poil, je continue à déplorer le manque de détachement et de second degré de certains blogs, et mes yeux saignent toujours devant les majuscules exclamées.
je continue à claquer mon pognon dans du maquillage, des godasses et des perfectos, à me faire les ongles comme un porc, à passer 1/4 h à me démaquiller, mais j'éprouve juste plus le besoin de le partager.
parce que m'est avis que seules les choses de qualité se partagent. et qu'à force de trop vouloir poster juste pour avoir sa cour et le privilège d'être lue, on finit par se travestir. et je trouve ça triste.
spéciale dédicace à ugliness, qui ose pointer du doigt ce que j'ai toujours eu envie de faire. la fuite des cerveaux, les photos immondes étalées avec fierté, et le vide intersidéral.
portez vous bien !
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